La robe bleue

robe bleueCe jour là, j’avais décidé de porter ma nouvelle robe bleue qu’il n’avait encore jamais vu mais dont je lui avait parlé le jour ou je l’avais acheté. Je m’étais bien gardée de lui en faire des photos car je savais que je serais super sexy dedans et je voulais utiliser cet effet de surprise en ma faveur. Les artifices même les plus simples sont toujours de très bons vecteurs d’excitation et mon décolleté cache coeur devrait remplir son office sans soucis.

Il devait arriver sur paris à 20 heures et m’avait laissé réceptionner notre chambre d’hôtel pour que je puisse m’y reposer avant son arrivée.

Il était plein de délicatesse, toujours galant ce qui contrastait avec la façon un peu brutale qu’il avait de me posséder quand le désir l’envahissait. Il devenait alors une bête féroce, prête à mordre et à remporter ce qu’elle était venue chercher, c’est à dire moi, dans ce cas précis.

Je me rendais donc vers le lieu choisit par ses soins et demandait la clé à la jeune femme de l’accueil. Si au début cela me gênait d’aller à l’hôtel avant lui, désormais j’éprouvais un réel plaisir à le faire et à prononcer son prénom et son nom de famille. J’étais sa soumise et dans notre contrat de domination, il était bien stipulé que je n’avais le droit de l’appeler par son prénom que lorsque nous baisions. C’était alors pour moi, une transgression secrète contrastant avec la rigueur de mes obligations et je m’en délectais doucement, prenant tout mon temps pour prononcer les syllabes de son patronyme que je découpais en petits blocs sonores.

Nous étions logés sous les toits, ce qui me ravie, j’aime pouvoir toucher le ciel et l’observer tout à mon aise. Pour une fois, il y avait une baignoire dans la salle de bain et je décidais de me faire couler un bain.

Je savais qu’il aimait mon odeur naturelle et que je ne devais pas trop utiliser de produits pouvant la masquer mais si je ne me savonnais pas ça devrait aller. J’avais envie de me détendre et de me sentir totalement apaisée. Je rentrais dans l’eau en silence et me laissais envahir par le bien être que me procurait la chaleur de celle ci. Après ce début de journée épuisant, il me fallait bien cela. Je fermais les yeux et me laissais porter par les images mentales que mon esprit m’insufflait en grande quantité. Je pouvais presque sentir la chaleur de son corps et je me voyais le toucher, me mettant à genoux pour l’honorer de ma soumission. Tête baissée, corps immobile, j’attendais qu’il m’autorise à parler, puis je lui baisais et léchais les pieds comme nous aimions tous les deux que je le fasse.

Que c’était bon, je sentais mon corps se relâcher et je me détendis complètement. Après une heure trente à m’abandonner à mes rêves les plus intimes, je décidais qu’il était temps de me préparer pour bien le recevoir. Pour l’exciter à distance, et commencer ce jeu de séduction que nous ne pouvions jamais éviter tant il était galvanisant, j’avais annoncé publiquement que je ne porterais rien sous ma robe. Je voulais être en libre accès, si l’envie lui prenait de venir vérifier que j’étais bien conforme à ses attentes.

Je ne porterais qu’un porte-jarretelles et des bas résilles avec une ligne remontant le long de ma jambe. J’aimais bien ce moment ou j’attachais crochet après crochet ma lingerie, veillant au fait qu’elle tombe parfaitement sur mes formes. Je fis remonter mes bas doucement et les clipaient en douceur. C’était parfait et l’image que me renvoyait le miroir me plaisait beaucoup.

Le soleil de fin de journée brillait dans la chambre quand je passais enfin ma robe bleue, comme un signe me confirmant que ma soirée serait parfaite. Je venais de recevoir un message me disant qu’il serait à 20 h 14 gare du nord. Il me restait juste assez de temps pour être là, debout en début de quai, guettant la silhouette du plus bel homme de la terre, celui qui me transformait en femme fontaine, liquide d’envies et du désir qu’il projetait sur moi.

Je pourrais reconnaître son pas entre mille et je sais lire dans ses yeux si expressifs. Il était fatigué et agacé par les nombreuses sollicitations téléphoniques qu’il avait reçu tout au long de son voyage. C’était à moi de le détendre, j’aurais voulu ouvrir mon manteau et lui montrer mon corps revêtu de bleu mais ce n’était pas le moment. Refusant de prendre le métro, il m’entraîna d’autorité vers un taxi qui nous conduisit le plus vite possible vers notre lieu de plaisirs.

Dans l’ascenseur, il tenta de m’embrasser en se collant à moi mais quelques chinois jouaient avec les boutons de la machine, nous empêchant de décoller vers des hauteurs dont peu de gens connaissent les rouages.

Une fois dans la chambre, j’ouvris mon manteau, le laissant tomber à terre, offrant à sa vue les rondeurs de mon corps moulées dans cette magnifique robe bleu. J’avais les tétons dardés et une tension frôlant l’overdose d’envies. Il sourit de ce sourire pervers qui annonça que j’avais déjà perdu la partie. Il s’approcha de moi, tira sur un de mes tétons et me dit qu’il voulait prendre une douche.

Ne me méfiant pas, j’allais m’allonger sur le ventre pour trouver un endroit ou aller dîner via une nouvelle application que je venais de découvrir et que je voulais tester, il me laissa faire sans rien dire.

Mais j’étais à peine étendue qu’il remonta d’un geste vif ma robe sur mes fesses et commença à me donner une fessée.

Introduisant deux doigts dans ma chatte déjà trempée, il les enfonça loin pour me faire comprendre combien il avait attendu ce moment. J’avais le souffle court, et je gémissais sans pouvoir me retenir. Il travaillait ma chatte à grand coups de doigts qu’il faisait aller et venir en cadence. De l’autre main, il frappait mon cul et le pétrissait de toutes ses forces, enfonçant ses ongles dans ma chair et grognant avec plaisir.

” C’est ma chatte, elle m’appartient, comme vous m’appartenez vous aussi !!!!” me dit il de sa voix rauque d’homme plein de désir. Je sentais sa queue dressée dans son pantalon, son érection était vivace et très dure. Cela devait le faire souffrir mais il ne disait rien, continuant à enfoncer de plus en plus de doigts dans ma chatte, qui ne demandait que cela, avide de toutes ses sentations.

Puis il fit glisser la fermeture de son pantalon, sorti sa queue et me posséda juste un instant, un bref instant pour que je sente combien, il était gonflé de désir. Je n’aurais pas le droit à plus, je le savais. c’est lui qui décidait de tout, comme toujours.

“Caressez vous !!!!” m’indiqua t-il d’un ton sans appel. J’étais au bord de l’orgasme et il le sentait. Relâchant la pression de sa main correctrice, il enfonça le reste de l’autre dans ma chatte et la secoua frénétiquement. Il savait que ça me ferait jouir abondamment. Cela ne manqua pas, je me déversais partout, sur sa main, sur les draps, sur ma robe que je lui avais pourtant demandé d’épargner mais dont je tâchais tout le devant en y laissant une énorme traînée de moi, pleine de mouille et de pisse.

” Je vais me doucher, Madame; Vous avez tâché votre belle robe. Vous êtes une cochonne !!!! Votre punition sera de sortir ainsi, pleine de cette jouissance que je vous ai procuré et que vous montrerez à la face du monde”

C’était le Maître, je me devais de lui obéir.  “Oui Maître” fut ma seule réponse.

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