Mon onctueuse Branlette

branlette

Il y a des gens qui aiment bien s’accorder des pauses cafés ou cigarettes, moi j’aime bien m’offrir une pause branlette. Je la trouve plus dynamisante qu’un nectar pur arabica et plus saine que de laisser partir sa vie en fumée. En gros si on me demandais ce que j’ai envie de faire quand j’ai cinq minutes de libre, je répondrais sans hésiter : Me caresser pour me faire jouir.

Bien que je n’ai aucun soucis de lubrification, j’aime tout particulièrement me caresser avec une crème. Je raffole de la texture onctueuse et velouté et j’aime sentir qu’elle fond quand elle atteint mes chairs brûlantes et intimes. Il n’y a rien de plus excitant que de sentir que tout glisse et que tout pourrait rentrer sans aucunes difficultés.

 Mon rituel est simple et facile, j’enduis tout mes doigts d’un peu de crème et je les plonge au cœur de ma chatte, faisant glisser l’ensemble de ma main dedans, la tartinant avec délectation et application, veillant à en mettre bien partout pour que je puisse glisser sans fin vers l’orgasme que je veux obtenir.

Que c’est plaisant et intense, fou et sensuel, cela m’excite beaucoup et je ne me lasse pas de me branler de cette façon.

Dernièrement j’ai commandé la crème masturbatoire pour femme” Nymphorgasmic” que j’ai décidé de tester pour vous. Je l’ai reçu conditionné en tube de 25 ML, petit tube charmant que j’ai glissé dans mon sac à main avant d’aller travailler. J’allais la tester dans les toilettes de mon bureau, lors de la pause déjeuner. Il n’y avait as de mal à se faire du bien  et du bien, je comptais vraiment m’en faire beaucoup.

Après une matinée bien stressante avec beaucoup de clientes pénibles, j’accueillais mon temps de repos d’une heure comme une véritable bénédiction. Toute la matinée, j’avais fantasmé sur le fait de tester ma nouvelle crème et j’allais enfin pourvoir le faire.

Je m’enfermais dans les toilettes du bureau, ouvrais mon sac et sortais mon petit tube du bonheur. Puis j’enlevais mon pantalon que je pliais soigneusement et je me mettais en place, assise sur la cuvette des toilettes, jambes très écartées, chatte en avant et étoiles plein les yeux.

J’ouvrais le tube, appuyais dessus pour libérer une crème toute blanche, sans odeur qui visiblement s’étalait bien si j’en croyais le test que je venais de faire sur le dos de ma main. Bon point pour le produit qui n’était ni trop fluide, ni trop compact, car rien n’était plus désagréable que de devoir gérer une crème épaisse qui s’étale mal.

Je tremblais d’impatience et d’envie et je sentais ma chatte palpiter toute seule, m’ordonnant de me dépêcher.

J’en remettais donc illico sur mes doigts en admirant encore une fois la texture et je commençais à me caresser avec. J’appréciais d’emblée le contact avec mes chairs, pas de picotements, pas de brûlures, juste une impression très agréable de lubrification intense qui me donnait envie de me caresser tout de suite avec vigueur.

Je luttais pourtant contre cette pulsion et j’y allais doucement, imbibant bien l’ensemble de mon sexe de cette hydratation providentielle, faisant aller et venir mes doigts le long de ma fente, appuyant sur mon clitoris ou l’effleurant. J’adorais le sentir frétiller comme un petit poisson dans l’eau, se contractant puis gonflant peu à peu sous mes assauts répétés.

Que c’était bon, je fantasmais à grand train, imaginant me faire prendre là sauvagement par une grosse queue, appuyée contre le lavabo, me voyant dans le miroir accuser les coups de rein fantastiques en dodelinant de la tête. J’avais toujours aimé cette image de la femme submergée par le désir de l’homme, coincée contre le lavabo ne pouvant que l’accueillir et se laisser porter par toutes les sensations qu’il lui donnait.

L’image était maintenant très présente dans ma tête et j’accélérais mes caresses, enfonçant désormais mes doigts dans ma chatte et adoptant un rythme plus soutenu. J’aimais bien le bruit que cela faisait. Aux intonations des floc floc, on pouvait deviner que je mouillais beaucoup mais surtout que la crème avait bien remplie son rôle.

Je coulais même littéralement, laissant par terre de petites gouttes rondes qui s’étendaient au fur et à mesure que mon plaisir montait.

J’étais au bord de l’orgasme et tellement mouillée que j’aurais pu enfoncer ma main dans ma chatte. Mais je me contentais de me donner le coup de grâce et jouissais en squirtant partout, venant balayer les gouttes à terre avec mon liquide de femme fontaine chaud et fumant.

Je restais ainsi quelques secondes, jambes écartés, immobile, savourant l’intensité du plaisir que je venais de me donner. Sentant mon corps peu à peu se détendre et s’enfoncer dans cet engourdissement caractéristique propre aux jouissances fortes et libératrices.

Reprenant peu à peu mes esprits, j’essuyais avec application ma chatte encore toute luisante de mon plaisir, puis je me rhabillais rapidement, nettoyant le sol taché de ma jouissance et rangeant dans mon sac, ma super crème masturbatoire que je ne manquerais pas de tester à nouveau dans d’autres lieux insolites.

15 commentaires

  1. Salut, merci pour votre article très plaisant! Je suis de toulouse et je suis intéressé par ce sujet. Grâce à votre blog que je viens découvrir au hasard d’un surf, je vais en découvrir davantage. Amicalement.

  2. Han <3 Merci pour cette érection, cette électricité du nombril jusque dans les cuisses à peine arrivé au boulot en lisant ton article…

  3. Aujourd’hui nous sommes le 19, donc j’imagine que tu as testé le Shibari ( en fait, le Kinbaku).
    Mon péché mignon ! Hâte de lire ce que tu en as à racoter.

  4. Oh oui très excitant
    Ton homme a trop de chance
    Te faire prendre sauvagement par une grosse queue carrément
    Oui tu donnes une erection tout en ayant beaucoup de respect pour toi bien évidemment

  5. Merci pour cette article je me sentais un peu seule de prendre mes pauses comme ca, bon je prends un café après aussi. Mais si il fallait choisir c’est bien la masturbation qui me redonne le plus d’énergie

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