Viens me mettre ton speculum dans le rectum

speculum

Est-ce que vous voyez ce qu’est un spéculum ? C’est un instrument médical, en métal ou en plastique conçu pour pouvoir explorer nos cavités naturelles.

Je me demande si s’est ce que c’est dit @la_poutre, mon Maître adoré, quand il a commandé le sien en ligne.  Moi quand j’ai vu la photo de l’objet enfin réceptionné entre ses mains, je me suis dit que le jour ou on l’utiliserait j’allais passer un cap en terme de pratiques BDSM.

@La_poutre est du genre à me faire attendre, le spéculum est donc resté un petit moment dans sa boîte avant qu’il ne décide de le sortir et de l’emmener avec lui pour agrémenter l’un de nos voyages. La semaine dernière nous avions parlé de travailler plus amplement ma jouissance anale et nous avions évoqué l’éventualité d’utiliser enfin le spéculum.

J’avais pour mission de bien entretenir la souplesse de mon cul en jouant avec divers instruments mais je n’ai pas eu le temps et je me suis présentée à notre rendez vous, le cul certes souple mais non préparé à être écartelé.

J’étais persuadée que ma demi désobéissance me conduirais directement vers un hors jeu cuisant et que je pouvais oublier pendant un moment le spéculum mais mon Maître est souvent plein de surprise à mon égard.

Après un long câlin tout en douceur ou je m’amusais à lui explorer les moindres recoins de peau, la passion s’est à nouveau déchaînée en nous. Il enfonça ses doigts dans ma chair confortable puis m’agrippa les cheveux avec force faisant rouler ma tête sur son torse de mâle. Aux inflexions de sa respiration soudain plus rauque et plus rapide, je compris que nous allions vivre une seconde mi temps forte en émotions.

Me laissant aller à sa volonté et me pliant au rythme de son corps, je me retrouvais bien vite sur le dos, les cuisses écartées et sa bouche collée à mon clitoris qui n’en pouvait plus de palpiter aussi fort. Il me léchait avec une férocité propre à son animalité d’homme plein de désirs. Je sentais sa langue rappeuse venir s’appesantir sur mon sexe qui ne réclamait qu’une chose, se faire avaler, absorber et diluer dans les affres du plaisir.

Je gémissais, perdue dans les profondeurs des draps blancs, couche pure et lumineuse, digne d’une vierge en train de se faire écartelée par la langue d’un amant aventureux. Je m’accrochais désespérément au surplus de ses draps soyeux et légers, tirant dessus avec frénésie comme si, ils avaient le pouvoir de me libérer de l’emprise de mon Maître et du plaisir qui déferlait en moi par ondulations frénétiques.

Entre deux râles caverneux, je lui signifiais l’envie de porter mon bâillon, je voulais être contrainte un peu plus fortement. Puis usant d’audace, je lui demandais aussi de prendre avec lui le spéculum. Sa réaction ne se fit pas attendre, mais au lieu de recevoir un non comme je le pensais, c’est son sourire désarmant et pervers que je vis apparaître sur son beau visage.

Puisque c’était mon envie, il allait la réaliser, cependant il commencerait d’abord par ouvrir à son regard ma chatte trempée et au bord de la jouissance. Il me posa mon bâillon avec soin, puis retourna vers mon entrejambe avec une détermination qui me fit frisonner. Ecartant mon clitoris de ses doigts puissants, il en fit des clichés pour immortaliser le moment. Puis je sentis s’enfoncer en moi le froid métallique du spéculum qu’il ouvrit lentement avec application.

Je sentais l’instrument repousser mes chairs, les écartelant peu à peu pour laisser place à la lumière du jour. D’un doigt inquisiteur, il me caressa l’intérieur du vagin avec une tendresse qui me fit monter les larmes aux yeux. C’était bon de se sentir ainsi possédée d’un seul doigt. Un doigt qui venait imposer à mes chairs palpitantes une jouissance particulière et une discipline de fer.

Il me fit me retourner au bout d’un moment, me mettant à quatre pattes au bord du lit, la chatte libérée de son entrave et désormais bien ouverte. Je n’avais pas de doutes concernant ses envies, mon cul allait subir le même sort et ça me rendait folle de désir. Je coulais à n’en plus finir.

J’étais impatiente, je savais que c’était un défaut chez moi, je voulais toujours tout, tout de suite et n’imaginais jamais que les choses puissent en être autrement. Mon impatience devait être trop visible et intolérable à ses yeux car il décida qu’il allait d’abord m’ouvrir le cul de façon naturelle. Je sentis couler le long de ma raie des fesses un filet de lubrifiant. Il s’enduisit également en prenant tout son temps, puis d’un geste ample et maîtrisé il s’enfonça dans mon cul d’un seul trait. Il m’enculait avec art et je ne pouvais que gémir, ne sachant pas maîtriser le flot de salive qui coulait sans discontinuer de ma bouche pleine de ma boule, j’en mettais donc partout sur les draps.

Il m’autorisait toujours à me caresser pendant qu’il me défonçait le cul et je ne passais pas mon tour. Je maltraitais avec fureur mon clitoris à chacune de ses poussées profondes en moi. J’adorais le sentir me posséder ainsi, comme une chienne qui s’offre sans peurs ni honte. Je ne tardais pas à jouir profondément, la tête dans le matelas.

A l’accoutumée, il me laissait reprendre mon souffle après une jouissance aussi forte mais cette fois ci il continua à me pilonner avec force et tout en profondeur, me dilatant de la taille de sa grosse queue qu’il faisait entrer et sortir mélodieusement. Mon cul faisait de petits clapotis à chacune de ses plongées.

Quand il me sentit bien dilatée, il se retira sans même avoir joui, puis il s’empara du spéculum qu’il fit glisser en moi avec facilité et dextérité. Le froid métallique vint encore s’imposer, contrastant avec la chaleur caniculaire qui régnait dans mon cul. Je sentis les parois de mon cul s’ouvrir doucement. Il m’écartelait avec une joie indicible que je pouvais entendre dans la rythme de son souffle plein de désir. Mon cul s’ouvrait toujours un peu plus lui offrant sans doute une vue agréable car soudain il cracha avec force dedans .

Quelle sensation curieuse pour moi. Forte et agréable sans aucun doute, je sentis son filet de salive se perdre dans les profondeurs de mon corps. Je me vivais écartelée, exposée et offerte à son regard comme un objet qu’il ne se lassait pas de regarder et de toucher. Il prit plein de photos de mon cul ainsi orné dont il se servirait sans doute pour assouvir ses désirs lorsqu’il sera loin de moi. Elles me serviraient quant à moi, à ne pas oublier que j’étais à lui et son objet de plaisir.

Il régla la largeur de l’ouverture qu’il m’avait imposé puis retira l’objet de mon cul, me disant que cela suffisait pour une première fois. Nous verrions ce que j’étais capable de lui donner de plus à la prochaine utilisation

Cette première expérience avec le spéculum ne serait sans doute pas la dernière et j’aimais déjà tout ce qu’il me ferait subir.

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