Un dîner très particulier (épisode 2)

J’étais particulièrement mal installée sur cette table . Si je reconnaissais la beauté de tout ce qui m’entourait je me sentais totalement en dysharmonie avec l’ambiance qui régnait. Les serviteurs zélés continuaient à dresser la table sans se soucier de moi. Je me demandais quel degré de fidélité il fallait posséder en soi pour être aussi impassible devant une telle situation.

J’en déduisis que tous ces gens avaient du en voir d’autres au cours de toutes ces années et qu’ils avaient appris à ne plus voir ni entendre. C’était bien pratique ce genre d’abnégation au final, ça permettait de pouvoir continuer à vivre sans avoir trop de pression mentale et je ne le savais que trop bien. Je faisais la même chose avec mon Maître et ses activités en tout genre, c’était bien pour cela que j’étais là d’ailleurs.

Je regardais autour de moi du mieux que je pouvais pour visualiser la sortie la plus proche, tout était vraiment magnifique et raffiné. Cet homme vivait dans un petit palace doré ce qui n’était pas vraiment fait pour me rassurer. Je savais par expérience que plus les gens étaient raffinés, plus leurs perversions étaient grandes. Il y avait de fortes chances pour que je passe une soirée éprouvante entourée d’hommes qui prendraient plaisir à me torturer.

C’était dans ces moments là que je me demandais si j’aimais vraiment le BDSM étendu et je n’en étais plus vraiment sûre. Parfois je me retrouvais dans des situations effrayantes mais je devais faire confiance à mon Maître quoi qu’il arrive.

J’en étais à ce stade de mes réflexions intérieures, la bouche pleine d’une eau citronnée que j’avais bien du mal à ne pas avaler, quand le Maître de maison, mon propriétaire d’un soir, fit son entrée entouré de ses invités. Je fermais les yeux pour me détendre en réglant ma respiration sur le doux balancement de l’horloge murale. Je n’avais pas vraiment envie de voir mes bourreaux tout de suite, je sentais imperceptiblement qu’ils seraient à la hauteur de mes craintes les plus intimes.

“Mes chers amis, bienvenus chez moi !!!, Ce soir un dîner très particulier vous attend et j’espère qu’il vous plaira. Pour vous divertir de nos discussions parfois trop sérieuses, j’ai le plaisir de vous offrir, un saucier et un rince-doigts vivant. Celui-ci a été préparé pour satisfaire vos plus petites envies, alors Messieurs rien ne vous est interdit !!! Cependant je compte pleinement sur votre courtoisie légendaire, pour ménager vos ardeurs afin que nous puissions utiliser notre objet à d’autres fins lors de la soirée.

Messieurs, que les réjouissances commencent, prenez place !!! ”

Les grognements goguenards qui arrivèrent à mes oreilles me firent prendre conscience de la couleur qu’allait vite prendre ce dîner. J’entendis les chaises bouger et les invités s’asseoir. J’ouvrais doucement un oeil pour essayer de voir qui se trouvait à proximité de moi mais je ne vis pas grand chose, limitée que j’étais par ma fonction de rince-doigts. Il m’était impossible de tourner la tête, même légèrement tant j’avais la bouche pleine d’eau. Je risquais de baver sur la table et j’aurais été indéniablement punie de cette audace. Mon propriétaire était donc un homme malin, il savait que je resterais dans le flou le plus total toute la soirée, ainsi il me serait quasi impossible de voir quelqu’un.

C’était assez bien joué, je reconnaissais là toute la subtilité perverse d’un homme qui n’en était pas à son coup d’essai, indéniablement.

Je ne dû pas attendre longtemps avant que le jeu ne commence. Je sentis tout d’un coup plusieurs mains me toucher un peu partout, puis on me suça les doigts et on me griffa les jambes et les bras. J’avais l’impression d’être entourée de petits singes qui prenaient un malin plaisir à m’écorcher doucement. Un convive plus audacieux me pinça un téton assez fort pour que j’ai un mouvement de recul. Je reçu instantanément un violent coup cinglant sur le ventre que je reconnus tout de suite. Mon propriétaire venait de me donner un coup de martinet à n’en pas douter. Bien qu’il ne dise rien, je compris que je devais me laisser faire sans bouger et je capitulais.

Je sentais rougir sur ma peau une trace brûlante qu’un invité me recouvrit d’alcool. Je brûlais littéralement , le picotement était tellement fort que je fus reconnaissante à celui qui me versa de la sauce sur le ventre. Je voyais maintenant très bien à qui j’avais à faire. Mon propriétaire se piquait lui aussi d’être un dominant et il avait la main rapide et leste.

Les  plats se posaient sur la table et je sentais ces hommes si bien élevés habituellement se transformer peu en peu en animaux. Ils mangeaient avec leurs doigts et venaient tremper leur nourriture dans la sauce qui coulait de mon ventre jusqu’à mon sexe. J’entendais la mastication de leurs bouches pleines et j’imaginais leurs dents romprent la chair tendre de leurs mets. On me fourra soudain de morceaux de viande que l’on poussaient à l’intérieur de moi. Selon un invité érudit, la viande était plus tendre quand elle avait trempée dans la sauce. Mon vagin étant pour lui l’endroit idéal pour faire mijoter tout cela, il allait l’utiliser.

Un autre eu soudain l’idée de me rajouter une fonction et décréta que je ferais un bon chauffe-plat. Il demanda à corps et à cris qu’on lui apporte une bougie et des allumettes et il m’enfonça celle ci dans l’anus en ricanant de son idée. Il se servit de la sauce comme lubrifiant et poussa la bougie assez loin afin qu’elle tienne bien. Il l’alluma puis posa son assiette sur mon ventre et fit admirer sa composition par les autres. Je pris instantanément conscience de l’expression “avoir le feu aux fesses” et je me mis à réciter un mantra intérieur pour garder tout mon calme.

Pendant ce temps là, un autre utilisait ma fonction de rince-doigts comme une poubelle de table. Il venait de parier avec un ami qu’il était tout aussi intelligent qu’Archimède et qu’il allait faire flotter des choses dans ma bouche. Je notais intérieurement de ne jamais dîner avec un homme de sciences ou de ne pas le faire boire.

J’étais assaillie de partout, sans d’autre pouvoir que celui de subir. J’étais devenu une dinde géante, chacun se servait avec ses doigts dans ma chatte écartelée. Certains mettaient plusieurs doigts pour aller chercher ce qui était au fond, raclant leurs morceaux de viandes contre les parois de mon vagin. On m’arrosait de sauce et de vin qu’on venait lécher à même ma peau, on me mordillait, me dévorait, me griffait sans vergogne. J’étais un met comme les autres et chacun s’en délectait à sa manière.

Arriva le temps du dessert. Un serviteur impassible vint me nettoyer de tous les excès de ce dîner. Il me libéra la bouche de sa fonction de rince-doigts et me permit de boire un peu. Il lava mon corps à l’eau fraîche ce qui me soulagea de toute cette ardeur. Enfin j’allais être libérée de cette table !!!

Il ne faut jamais se réjouir trop vite dans la vie et je l’appris à mes dépends. Mon propriétaire annonça très fier de lui qu’il venait d’acquérir une jolie machine et qu’il avait décidé de me traire pour le dessert. Il proposa à ses convives de me transformer en fontaine de lait afin que ceux ci puissent venir boire à la source. Ses invités trouvèrent l’idée charmante et on m’équipa la poitrine à cet effet.

Mes tétons s’étiraient dangereusement sous la pression de ces deux bouches suceuses et insatiables, j’étais un petit animal dont on voulait extraire l’essence vitale. Les invités tapaient des mains d’impatience, ils se disputaient le premier tour de tétée, faisant valoir comme “laisser-passer” leurs titres ou leurs fortunes.

Quand mes seins furent suffisamment gonflés et triturés pour mon propriétaire, il me fit enlever la machine et m’offrit à la convoitise de ses invités. Ils s’emparèrent alors de mon corps tout entier, s’octroyant chacun un morceau de moi.

Des bouches s’écrasaient avec ardeur sur mes seins, les happant et les mordant pour en faire sortir le nectar originel. D’autres en attendant leurs tours enfonçaient leurs doigts, dans ma bouche, ma chatte et mon cul comme si leurs vies en dépendaient. J’étais possédée de partout comme recouverte d’une horde de piranhas. Chacun d’entre eux, s’acharnaient à ne pas en perdre une miette. Tout semblait bon à prendre en moi et comme je ne pouvais pas m’empêcher de mouiller fortement, je ne faisais qu’encourager leurs velléités de possession.

Soudain une cloche retentit, les carnivores cessèrent toutes activités m’offrant alors un répit salvateur.

“Messieurs, nous allons passer au salon ou vous découvrirez d’autres surprises sous peu, je vous invite à me suivre”

La salle à manger se vida instantanément me laissant recouverte de marques rouges et de suçons. j’avais la chatte en feu et je n’osais même pas penser à l’état de mon cul. Un serviteur vint me détacher et me conduisit vers une douche. Il m’aida à me laver, toujours dans le plus grand silence et m’apporta ce qui serait ma tenue pour le second round de cette soirée.

Une chose était sûre, je n’avais pas encore vécu le plus pervers !!!

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